
Le troisième opus s’ouvre avec Sixtine et Thaddeus. Ils sont aux falaises, dans la maison de Gigi. Ils vivent leur amour. Max prend en filature un couple. Il est sûr et certain que Livia De Stehl court un grave danger. Florence, qui était au Caire avec son père, reprend conscience dans un endroit inconnu….
Caroline Vermalle lève le voile sur plusieurs questions : qui est vraiment Thaddeus ? Qui est Sixtine ? Quelle est sa quête ? Pour cela, elle enchaîne sur les révélations, presque surprenantes, sauf une. Peut-être pour amorcer un changement ? Cet enchevêtrement compliqué et continu d’informations, a eu comme effet de me saturer complètement. D’ailleurs, j’ai eu beaucoup de mal à finir ce livre.
Je n’irai pas plus loin en ce qui concerne l’histoire, afin de ne pas spolier. Il me serait difficile d’aborder les différents thèmes (la recherche de soi, l’amour, la confiance, la perversité, secte…) sans livrer des détails sur le récit même.
Par rapport aux deux premiers tomes, je dois avouer que le troisième m’a rendue très perplexe. J’ai trouvé que l’histoire commençait à partir aux quatre vents, certainement dû au fait, que plusieurs superstitions et croyances sont mélangées. De plus, ce que j’ai lu du livre IV, ne m’a pas donné envie d’aller plus loin. Je n’irai pas dire que je ne lirai plus de Caroline Vermalle. Pour ce qui concerne Sixtine, je m’arrête ici.
A bientôt pour un nouvel océan de mots….
Notes,😉